‘Ton gars, c’est peut-être mon gars’ : Ce qu’il faut retenir du groupe WhatsApp qui fait le buzz

Le phénomène du groupe WhatsApp « Ton gars, c’est peut-être mon gars » suscite de vives réactions à Lomé. Cette initiative est née d’un besoin de transparence et de solidarité entre femmes face à l’infidélité. Le principe du groupe est simple : une fille partage la photo de son partenaire afin de vérifier auprès des autres membres s’il est en relation avec l’une d’entre elles. Ce concept a déjà permis de démasquer plusieurs infidèles, provoquant des débats animés dans la capitale togolaise.

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Originaire du Gabon, ce mouvement s’est rapidement propagé à d’autres pays comme le Cameroun, le Congo, et maintenant le Togo, sous différents noms tels que « Ton gars, c’est sûrement mon gars ». Cette initiative vise à mettre fin à la duplicité dans les relations amoureuses en Afrique. Les femmes utilisent ces groupes pour s’informer et se protéger mutuellement contre des partenaires peu scrupuleux.

 

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Cependant, la réaction des hommes face à ce phénomène est mitigée. Certains prennent la situation à la légère, y voyant un aspect humoristique. D’autres, plus critiques, dénoncent ce qu’ils perçoivent comme une atteinte à la dignité et à la vie privée. Des dérives sont également signalées : sur X (anciennement Twitter), des hommes gabonais ont créé un groupe similaire, mais qui partage des photos intimes de leurs partenaires, soulevant des préoccupations éthiques et légales.

Cette tendance reflète un débat plus large sur la fidélité et la transparence dans les relations amoureuses en Afrique. Si elle met en lumière la solidarité féminine, elle soulève aussi des questions sur les limites de l’intimité et du respect de la vie privée. Elle pourrait être le signe d’une évolution des mœurs dans la société africaine, où la fidélité et la loyauté dans les relations sont de plus en plus valorisées.

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