Lors du Forum municipal international des BRICS, qui se tient actuellement à Moscou, Nadjiba Djilali, présidente de l’Assemblée populaire de la Wilaya d’Alger, a exprimé l’espoir de voir l’Algérie intégrer ce groupe influent. Elle a souligné l’importance de cette adhésion pour consolider les relations de l’Algérie avec ses partenaires stratégiques, notamment la Russie.

« Ce serait une grande joie pour nous si les BRICS offraient une telle opportunité d’améliorer les relations entre nos pays », a déclaré Nadjiba Djilali. L’Algérie manifeste, depuis 2022, un intérêt accru à rejoindre les BRICS, un bloc économique regroupant le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud. Ce groupe, représentant des économies émergentes, pourrait offrir à l’Algérie une plateforme pour renforcer sa coopération internationale et diversifier ses partenariats économiques.

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Pour l’Algérie, l’intégration aux BRICS serait une occasion d’accroître son influence sur la scène mondiale et d’attirer davantage d’investissements. En tant que pays riche en ressources naturelles, particulièrement en hydrocarbures, l’Algérie pourrait apporter une contribution significative au groupe tout en bénéficiant des avantages économiques et stratégiques liés à cette alliance.

Cette démarche reflète également la volonté de l’Algérie de s’éloigner des dépendances économiques traditionnelles et de tisser des liens plus étroits avec d’autres puissances émergentes. Si l’intégration se concrétise, elle pourrait marquer un tournant dans la politique extérieure algérienne, avec un impact significatif sur son développement économique et géopolitique.