Le Sénégal a récemment dévoilé son plan de développement pour les 25 prochaines années, intitulé « Sénégal 2050 : agenda national de transformation ». Ce projet s’inscrit dans le cadre des promesses électorales du président Bassirou Diomaye Faye et de son Premier ministre Ousmane Sonko, qui aspirent à une rupture significative avec les pratiques du passé.

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Depuis leur accession au pouvoir en avril 2024, les nouvelles autorités se sont engagées à mettre fin à la dépendance économique du pays vis-à-vis de l’étranger. Pour ce faire, elles comptent sur l’exploitation des ressources locales et la valorisation du capital humain. Lors d’une récente visite dans un centre de formation professionnelle, fruit d’une collaboration avec le Japon, le Premier ministre a mis en avant les grandes lignes de ce plan ambitieux.

Les objectifs fixés par le gouvernement sont clairs : réduire la pauvreté, tripler le revenu par habitant et atteindre une croissance économique annuelle moyenne de 6 à 7 %. Ces ambitions, si elles sont réalisées, pourraient transformer radicalement le paysage socio-économique du Sénégal, permettant ainsi au pays de se positionner comme un acteur incontournable sur la scène internationale.

Le « Sénégal 2050 » ne se limite pas à un simple document de politique publique ; il représente une vision globale et audacieuse pour l’avenir. En s’appuyant sur des valeurs de durabilité et d’autonomie, ce plan pourrait bien poser les fondations d’un développement harmonieux, bénéfique pour toutes les couches de la population. La mise en œuvre efficace de ces stratégies sera essentielle pour garantir la réussite de cette transformation tant attendue.