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La monétisation Facebook et Instagram désormais ouverte au Ghana et au Nigeria

La monétisation Facebook et Instagram est une source de revenus active pour de nombreux créateurs dans le monde, mais jusqu’ici, les utilisateurs africains peinent à tirer leur épingle du jeu. En effet, seule une poignée de pays était éligible à ce programme auquel Meta vient d’ajouter toutefois le Ghana ainsi que le Nigeria.

Plus de revenus pour les créateurs africains

Après l’annonce en Mai dernier de l’arrivée de la monétisation Facebook au Nigeria, Meta passe désormais à l’action en déployant son programme de rémunération dans ce pays ouest-africain. L’entreprise a d’ailleurs fait d’une pierre deux coups en ajoutant le Ghana aux pays éligibles ce 1er juillet.

« À partir d’aujourd’hui, les créateurs éligibles du Nigeria et du Ghana pourront gagner de l’argent pour leur contenu vidéo et leurs reels (vidéos courtes sur Instagram), avec une prise en charge dans plus de 30 langues à l’échelle mondiale » peut-on lire dans le communiqué annonçant cette bonne nouvelle.

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Entre espoirs et besoin de valorisation de la monétisation Facebook

À travers son communiqué, Meta ouvre la voie aux créateurs de contenus au Nigeria et au Ghana de générer des revenus au prorata des vues obtenues pour leurs vidéos Facebook et Instagram. Les conditions d’éligibilité restent également très accessibles, car Meta exige seulement que le créateur soit âgé de plus de 18 ans et qu’il dispose d’au moins 5 000 abonnés. Toutefois, les standards de la communauté Facebook ne sont pas à négliger.

Le déploiement de la monétisation Facebook et Instagram au Nigeria et au Ghana représente par ailleurs un espoir pour les créateurs résidant dans les pays africains encore non éligibles.

En effet, la liste pourrait s’allonger au fur et à mesure pour garantir des revenus directs à ceux-ci. Cependant, un autre grand défi demeure ; celui de la valeur des montants perçus, car les créateurs africains sont généralement sous-payés par rapport à leurs collègues occidentaux.

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