La scène politique allemande a récemment été secouée par l’effondrement de la coalition tripartite au pouvoir, un événement qui n’a pas échappé aux commentaires acerbes d’Elon Musk. En réaction à cette crise gouvernementale, le milliardaire a qualifié le chancelier allemand Olaf Scholz d' »imbécile », écrivant sur X (anciennement Twitter) : « Olaf ist ein Narr » (« Olaf est un imbécile »). Cette déclaration, suivie de l’ajout d’emojis « 💯😂 » en réponse à un internaute qui lui demandait si le message visait réellement Scholz, témoigne d’une explosion de nervosité et de frustration.

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Le timing de cette attaque est significatif, alors que Musk fait face à une série de tensions avec les régulateurs européens, notamment en ce qui concerne la gestion de la plateforme X. En effet, les autorités européennes ont critiqué la manière dont Musk laisse se propager des discours haineux sur son réseau social. Face à ces accusations, la Commission européenne envisage de lui infliger une amende, en vertu de la loi européenne sur les services numériques, qui impose aux entreprises de modérer le contenu publié en ligne. Cette situation pourrait également affecter d’autres entreprises de Musk, comme SpaceX et Neuralink, dans un contexte de plus en plus tendu entre le milliardaire et les gouvernements de l’UE.

Malgré ces polémiques, Musk semble néanmoins se réjouir du soutien qu’il apporte à Donald Trump, dont il a activement soutenu la campagne présidentielle. Le succès de Trump dans les sondages et sa promesse de nommer Musk à la tête d’une nouvelle commission gouvernementale sur l’efficacité semblent renforcer l’optimisme de Musk sur ses relations politiques aux États-Unis, même si ses relations avec l’Europe restent chaotiques.