Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a prêté serment mardi pour entamer son second mandat à la tête du pays. La cérémonie officielle, qui s’est déroulée au Palais des Nations à Alger, a marqué la fin d’une période de controverses et de contestations liées aux résultats de l’élection présidentielle.
Lire aussi : Tunisie : Ayachi Zammel lance sa campagne présidentielle depuis sa prison
Tebboune a été réélu lors d’un scrutin caractérisé par un large soutien populaire, bien que des questions aient été soulevées concernant le décompte des voix. Le Premier Président de la Cour Suprême, Tahar Mamouni, a supervisé le serment, avec le président posant sa main droite sur le Noble Coran et répétant les mots du serment prononcés par Mamouni.
🚀Annonces pour Nos Partenaires !
Créez votre site web professionnel à un prix imbattable avec 3Vision-Group.
Découvrez l'OffreCommandez une application mobile sur mesure et transformez vos idées en réalité !
Commandez MaintenantLa victoire de Tebboune avait été certifiée samedi par la Cour constitutionnelle, après une révision approfondie du décompte des voix. Cette décision a été prise suite aux contestations soulevées par Tebboune lui-même ainsi que par ses deux principaux adversaires. La Cour a examiné les données locales de vote pour clarifier les irrégularités signalées et garantir l’intégrité des résultats.
La validation par la Cour constitutionnelle a permis à Tebboune de reprendre ses fonctions sans nouvelles contestations, consolidant ainsi sa position à la présidence pour les années à venir. Cette prise de fonction est un moment crucial pour l’Algérie, alors que le pays s’apprête à affronter de nouveaux défis politiques et économiques sous le leadership de Tebboune.