Banglandesh : Sheikh Hasina accuse Washington d’ingérence dans sa démission

Dans une lettre dévoilée par l’Economic Times, l’ex-Première ministre du Bangladesh, Sheikh Hasina, a affirmé que sa démission le 5 août 2024 était le résultat de pressions exercées par les États-Unis. Selon ses propos, Washington aurait cherché à la forcer à céder l’île de Saint-Martin, un site stratégique pour la construction d’une base militaire américaine dans le golfe du Bengale.

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Sheikh Hasina, qui a quitté le pouvoir au milieu des troubles à Dacca, a indiqué qu’elle aurait pu rester en fonction si elle avait accepté de renoncer à la souveraineté de cette île, connue pour sa beauté naturelle et son importance stratégique. La présence américaine sur l’île de corail, proche du détroit de Malacca, aurait offert aux États-Unis un avantage géopolitique considérable, notamment en ce qui concerne les routes commerciales vitales pour la Chine.

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Face à ces pressions, Sheikh Hasina a préféré démissionner, laissant la direction du pays à Muhammad Yunus, lauréat du prix Nobel de la paix en 2006, nommé chef du gouvernement intérimaire. Cette situation met en lumière les enjeux géopolitiques croissants dans la région, où le contrôle des territoires stratégiques est devenu un enjeu majeur pour les grandes puissances.

 

 

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