Nathalie Koah, figure emblématique du monde numérique camerounais, prend des mesures pour lutter contre la cyberintimidation. C’est une forme de rebellion de l’influenceuse camerounaise qui a été victime de harcèlement en ligne pendant plusieurs mois.
Connue pour son parcours d’hôtesse de l’air à influenceuse et femme d’affaires Koah est devenue une source d’inspiration pour de nombreuses femmes dans le monde. Elle a accumulé des millions d’adeptes sur les médias sociaux. Malgré son succès, elle a été la cible d’une cyberintimidation incessante, contre laquelle elle prend aujourd’hui des mesures décisives.
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La réponse de Nathalie Koah à la cyberintimidation
Au cours des derniers mois, la présence de la star camerounaise sur les médias sociaux a été entachée par la cyberintimidation. Alors qu’elle est d’abord restée calme face à ces attaques, elle a décidé d’adopter une position plus ferme.
Dans un récent message sur Instagram, Nathalie Koah a annoncé sa décision de poursuivre en justice les auteurs des commentaires haineux et du harcèlement. Elle a déclaré : « Depuis plusieurs semaines, je suis la cible d’une terrible campagne de cyber-harcèlement. Chaque fois que je publie, je reçois des dizaines de messages, tous aussi haineux les uns que les autres. J’ai décidé aujourd’hui de confier cette affaire au cabinet d’avocats @maitre_nabil_boudi_ pour ne plus rien laisser passer. »
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La décision de Koah d’engager un avocat signifie son engagement à aborder la question par des moyens légaux. Elle a insisté sur le fait que les auteurs de ce cyber-harcèlement seraient tenus responsables de leurs actes devant les tribunaux. Cette démarche vise non seulement à la protéger contre tout nouveau harcèlement, mais elle sert également d’avertissement à d’autres personnes susceptibles d’adopter un comportement similaire.
En intentant une action en justice, Nathalie Koah montre l’exemple à d’autres personnes qui pourraient être confrontées à des problèmes similaires, en montrant qu’il est essentiel de protéger son bien-être mental et émotionnel. Sa réaction rappelle avec force que les victimes de cyberharcèlement ont le droit de demander justice et de demander des comptes à leurs harceleurs.